COP21

Face à un réchauffement climatique d’un degré et demi, précurseur d’intempéries extrêmes et de périodes de sécheresse plus longues, une question se pose pour les pays en développement: Suivre l’élan des pays émetteurs pour réduire leurs émissions ou se concentrer sur leur destin en préparant pour le pire ?

L’après COP21 : un bilan mitigé. L’impulsion d’une réelle dynamique de changement, au sein des gouvernements et des sociétés civiles de la région MENA, par l’adoption du programme d’adaptation et de financement à la suite de l’Accord de Paris, marque un réel contraste par rapport à l’inaction pour répondre à certains défis tels que le problème de la dette climatique non assumée ou encore celui de l’urbanisation effrénée des zones côtières.

After the failed climate summit in Copenhagen 2009, governments of 196 countries meet again at COP 21 in Paris at the end of November to negotiate a globally binding climate agreement, which is supposed to enter into force after 2020. The goal is to limit the warming of the earth’s climate to 2 degrees Celsius above pre-industrial levels. Important issues among others are the financing of necessary measures and the equitable sharing of burdens, responsibilities and advantages among the countries. Facing the already tangible impacts of climate change, it is also important to develop a compensation mechanism for climate change losses and damages and to address the question of responsibility. In this ongoing dossier we pick up these and other aspects and complement them with regional analyses from our international offices.